Skip to main content

Pour l’instant, tout se passe sans accroc du côté de la bourse américaine. En cette période de l’année, la probabilité est plus élevée que le S&P 500 augmente plutôt qu’il ne baisse. Cela bénéficie un peu à la bourse de Paris même si le chemin à parcourir est encore long pour finir l’année en positif (baisse de 3,50% depuis janvier). Nous n’excluons pas que la bourse américaine ait besoin d’une phase de respiration. Le positionnement à l’achat des investisseurs sur les actions américaines est extrême. Par exemple, sur la période allant du 5 au 13 novembre, les ETFs américains et les fonds communs de placement ont attiré près de 56 milliards de dollars. C’est le deuxième plus grand afflux hebdomadaire depuis 2008. Il suffit, par exemple, que les résultats de Nvidia attendus cette semaine ne provoquent pas un effet waouh et qu’ils soient peu ou proue en ligne avec le consensus pour qu’on ait une baisse des indices. Ce serait l’excuse idéale pour prendre des bénéfices. C’était justement ce qui s’était produit à la fin du mois d’août. Une phase de respiration est salutaire, de notre point de vue. Cela pourrait permettre à de nouveaux investisseurs d’entrer sur le marché.

EFI

Author EFI

More posts by EFI